MUSCULATION ET NUTRITION

MUSCULATION ET NUTRITION

MUSCULATION ET NUTRITION
MUSCULATION ET NUTRITION
Bien se nourrir est essentiel lorsqu’on désire obtenir de bons résultants. L’a limitation doit fournir les matériaux nécessaires a la construction du tissu musculaire. Ce dernier a besoin d’énergie et de nutriments pour se développer. Il faut donc veiller à couvrir les besoin quantitatifs et qualitatifs indispensable a la croissance musculaire. Les apports en protéines doivent compris entre 1.5 et 2.5g/kg afin de fournir les acides amines nécessaires aux synthèses protéiques. Les apports en glucides sont généralement compris entre 50 et 55%de l’apport calorique total avec une majorité de glucides complexes (féculents). Les apports en lipides doivent compris entre 15 et 25%de l’apport calorique total, en veillant aux apports en acides gras essentiels (huiles de noix, soja, colza, et poisson gras comme le saumon et la sardine). Les apports en eau seront abondants afin de favoriser l’élimination des déchets azotes consécutifs à l’effort et a l’importance des apports proteiques. Les erreurs généralement commises sont des apports excessifs en  protéines au détriment des autres nutriments comme les acides gras essentiels et les protéines complexes. L’alimentation doit être abondante et variée.
L’entrainement musculaire pratiqué de façon intense induit des modifications métaboliques importantes qui entrainent une augmentation des besoins en certains micronutriments comme les vitamines du groupe B, la vitamine C, le potassium, le magnésium, le zinc… dans ce but il est important de consommer des aliments nutritifs qui ne surchargent pas inutilement l’organisme. Les aliments riches en « calories vides » doivent donc être évites (pâtisseries, sucreries, aliments trop raffines) .
Pour favoriser une bonne recuperation et un bon déroulement des synthèses protéiques il est nécessaire d’assurer des apports en nutriments de façon continue tout au long de la journée. Pour cela il est souhaitable d’augmenter la fréquence des repas. Quatre a six petits repas quotidiens sont préférables aux deux ou trois gros repas traditionnels. A titre d’exemple, voyons comment peuvent se repartir les repas sur une journée pour un athlète s’entraine vers 17heures :

7h00 : le petit déjeuner sera très copieux avec lait, céréales, omelette, pain, fruit

 10h00 : une collation, dans le milieu de la matinée, composée d’un sandwich au blanc de poulet et une banane

12h30 : le repas de midi avec crudités, viande ou poisson, féculents, fromage et fruit

16h00 : avant l’entrainement un petit repas hyper-protéine avec par exemple laitage maigre (fromage blanc 0%) et un fruit

Tout de suite après l’entrainement : consommation des glucides a index glycémique élevé (boisson énergétique  ou jus de fruit sucre avec du miel) afin de reconstituer rapidement le taux de glycogène et favoriser la récupération.

20h00 : diner avec par exemple légumes cuit, omelette, pomme de terre vapeur, yaourts.

LES 10 FAUX COMMANDEMENTS DU BODYBUILDING

LES 10 FAUX COMMANDEMENTS DU BODYBUILDING
LES 10 FAUX COMMANDEMENTS DU BODYBUILDING
LES 10 FAUX COMMANDEMENTS DU BODYBUILDING

Les 10 dix faux commandements d’entrainement de musculation qui suivent sont bases sur des faits. Certes, la plupart d’entre eux sont utiles, mais ils ne sont ni parole d’évangile ni  vérité scientifique qu’il faut suivre aveuglement a tout instant. On doit, au contraire, les examiner de prés et les évaluer, les appliquer quand il le faut, les délaisser quand ils ne sont pas pertinents, et à l’occasion, les prendre à contre-pied pour donner aux muscles un coup de fouet qui stimulera leur croissance.

1-      Tu travailleras lourd pour prendre du volume : telle un sermon, ces prêchées dans le mode entier. En règle générale, ce conseil est parfaitement valable. Travailler lourd en séries courtes est en effet une méthode de prise de masse qui a fait ses preuves. Mais, en tant que formule scientifique, « séries courtes = masse » est facilement réfutable. Mike MENTZER, « M. heavy duty » a été l’apôtre des séries brèves et  brutales dans les années 70. Dans les années 90, Dorian Yates, M. Olympia, a suivi ces même principales avant de remporter six fois le sandow. Inversement, d’autres champions, depuis Arnold Schwarzenegger jusqu'à Flex wheeler se sont concentres davantage sur la congestion que sur la charge, en effectuant des répétitions modérées. tirons tout cela au claire : votre objectif prioritaire ne devra pas être le nombre de disques que vous empilez, mais le stress que vous imposez a vos muscles. S’il faut une série de 15 reps avec une charge plus légère pour épuiser vos quadriceps à la presse a cuisses, qu’il en soit ainsi. De plus, faire a l’occasion une semaine ou un mois d’entrainement léger en séries courtes sera peut être l’étincelle dont votre cors aura besoin pour accéder au niveau supérieur.

2-      Tu ne dévieras point de ton programme : au cours de vos premiers mois d’entrainement, vous avez suivi scrupuleusement un plant structure en séries, reps et exercices. Tel jour, vous faisiez ceci, tel autre, vous faisiez cela. Pareil a une machine, vous avez répète sans cesse les mêmes  mouvements. Vous avez découvert la discipline. Ne pas dévier d’un programme vous a facilité la tache, car vous avez travaille correctement chaque groupe musculaire, en veillant a l’exercer dans le bon ordre (des plus grandes eaux plus petit) et on vous reposant comme il le fallait entre les séances. Le bodybuilding était aussi simple et ennuyeux que de peindre case par case ! mais peinturlurer des espaces n’est pas de l’art. la clé de l’efficacité de l’entrainement est de toujours stresser le corps de manière différente. Si vous collez au même programme, vos muscles s’adapteront tranquillement et seront moins enclins a se développer. Sortez donc d’un travail routinier. Changez d’exercices ou faites les mêmes dans un ordre différent ou exercez d’autres muscles que ceux que vous faites tel ou tel jour. Il y a une infinité de façons de varier. La confusion maintient le stress dans les muscles et les fait grossir.

3-       Tu ne travailleras point tes obliques : le raisonnement sur lequel s’appuie cette théorie est qu’en exerçant les obliques, on épaissit la taille et on diminue l’évasement du buste. C’est peut être vrai pour ceux qui sont pas grands et qui ont un tour de taille naturellement important. Mais tonifier cette partie du corps avec des séries longues de flexions latérales et de retâtions avec un bâton peut profiter a pratiquement tout le monde. De plus, les individus de type longiligne avec une taille naturellement mince ont besoin de développer ces muscles. Les obliques sont très impressionnantes quand ils ne sont pas recouverts de graisse, ce qui nous amène à l’affirmation suivante, sans cesse rabâchée.

4-      Tu ne pas contracter la graisse : si vous n’avez jamais vu tournois du sumo, vous savez que c’est vrai. Il y a une différence de poids entre des fessiers striés et un derrière qui pendouille. Néanmoins, le message qui sous-tend ce commandement, à savoir que la graisse ne sert a rien en bodybuilding, est manifestement faux. Autrefois, les pratiquants engraissaient comme des cochons pendant la hors saison (et étaient souvent loin d’être secs le jour de la compétition). De nos jours, la plupart des pratiquants ont tendance à ne pas trop s’éloigner de leur forme de concours pendant toute l’année. Certains se laissent encore aller a prendre une quinzaine de kilos par rapport a leur poids sec. On a vu lee priest et nasser el sonbaty ressembler au bonhomme michelin (avec un sacré paquet de muscles, c’est sur). Certes, on ne peut pas contracter la graisse mais, sans elle, la plupart des gens ne peuvent pas prendre beaucoup de muscle. On gagne généralement en force quand on gagne du poids et  gagner en force, c’est gagner du muscle. Une bonne règle est de conserver un peu de tissu adipeux quand on prend du volume mais jamais au point que les abdominaux cessent d’être visible.
5-      Tu travailleras les mollets et les abdos plus fréquemment : un certain bodybuilder australien avec un nom bizarre est arrive aux USA en 1968, exhibant 110kg de masse lisse perches sur des jambes pareilles (toutes proportions gardées) a des cannes de golf. Deux ans plus tard, arnold schwarzenegger avait des abdos finement sculptes et, très certainement les meilleurs mollets du monde. Comment y est-il parvenu ? en travaillent sa sangle abdominale et ses mollets tous jours. Et, bien sur, une génération de bodybuilders a suivi son exemple – sans obtenir les mêmes résultats. aujourd’hui, beaucoup de pratiquants continuent à stresser ces zones plus fréquemment que d’autres groupes musculaires, en les travaillant en séries longues quatre jours par semaine ou plus. Si cela marche pour vous, tant mieux. Mais sachez qu’un tel programme peut facilement conduire au surentrainement avec, comme conséquence, la perte de masse musculaire et de force. Pour de nombreux culturistes, il ne faudra pas exercer les mollets et les abdos plus fréquemment que les quadriceps ou les dorsaux. Cherchez ce qui est le plus efficace pour vous, puis modulez votre schéma de travail en conséquence.

6-      Tu deviendras proportionne avec un entrainement égal : les programmes sont conçus pour faire grossir les muscles afin de créer un ensemble symétrique.   Malheureusement, il est rare que les groupes musculaires se développent au même rythme. Immanquablement, certains groupes réagiront mieux a l’entrainement avec charges additionnelles, tandis que d’autres risquent de ne pas prendre aucun volume. Donc, si vous suivez le même programme qui stresse tous les groupes de manière égale, vous deviendrez moins proportionné. Vos points forts seront renforcés et vos faiblesses ne feront qu’empirer. Pour arriver à la symétrie, il faut moins se concentrer sur les meilleurs groupes déficitaires. Dans les cas extrêmes, il est même nécessaire de ne plus travailler les muscles en expansion pour qu’ils n’éclipsent pas complètement leurs confrères moins chanceux. Visez toujours l’équilibre dans votre physique, même si cela veut dire adopter un entrainement déséquilibré.
7-      Tes charges seront libres : c’est ce que proclament avec force ceux qui passent leur temps au gym. Ce commandement ne doit pas être pris a la lettre parce que de nombreux exercices aux machines comme le tirage vertical et le leg curl figurent dans les programmes même les plus primitifs. Au contraire, cette règle est sensée souligner le principe selon lequel des exercices de base lourds avec barre et haltères sont supérieurs a des mouvements d’isolation effectués sur des machines. C’est souvent vrai mais le travail aux machines n’en n’est pas moins « pur et dur », a preuve les nombreux bodybuilders d’élite qui passent pas mal de temps perchés sur divers appareils. Les machines sont généralement plus sures et beaucoup d’entre elles stressent le muscle d’une façon unique qu’il est impossible d’obtenir avec les haltères. Les charges libres sont peut être ce qu’il y a de mieux pour gagner de la masse mais pratiquement tous les exercices de résistance ont leur utilité, ne serait ce que pour apporter de la vérité.  

8-      Tu feras du squat et du couché : ces deux exercices avec charges bien libres (ainsi que le soulevé de terre) sont les piliers de tous les programmes, quels qu’ils soient. De nombreux cultos estiment qu’une séance sans couché pour les pecs ou sans squats pour les cuisses serait comme las Vegas sans les jeux ou les danseuses aux sein nus. Pour des millions de pratiquants du monde entier,  le squat et le développé couché sont l’essence même de la musculation. Certes, ce sont deux exercices, surtout en place des fondations solides quand on est de niveau débutant ou intermédiaire, mais, sans eux, le développement musculaire continue ! (voici un secret : la plupart des champion de bodybuilding ne font pas des squats et du couché régulièrement.) chez certains pratiquants, ces mouvements congestionnent a peine les quadriceps et les pectoraux. Au contraire, ils sollicitent les fessiers et les lombaires (squats) ou les deltoïdes antérieurs (développé couché). Le vrai commandement sera : ne faites que les exercices qui sont les plus efficaces pour votre physique.

9-      Tu ne te soucieras point des petites choses : voici un autre credo de l’école, rien que la base. « il est vrai que le moyen le plus rapide de transformer son corps est de développer les groupes musculaires : les cuisses, dorsaux et pectoraux. Néanmoins, il faut toujours viser la symétrie. Une fois qu’on arrive au niveau de la compétition, presque tout le monde a des quadriceps, dorsaux et des pectoraux bien fournis. Ce qui fera la différence entre les autres et vous, ce seront peut être vos trapèzes, vos avant bras, vos mollets, ou vos lombaires. Les « petites choses » pèsent lourd. Ne négliger jamais aucune partie de votre physique.

10-    Tu ne peux pas changer ta morphologie : on entend fréquemment ce commandement, généralement a propos des épaules étroites ou des hanches larges. Il est vrai, en effet, qu’on ne peut pas faire grand-chose pour transformer son squelette. Cependant, on peut s’entrainer pour étoffer ou diminuer les muscles qui entourent l’ossature. Pour améliorer un corps trapu, développez les deltoïdes, surtout le faisceau externe. Faites des exercices comme le développé et les élévations latérales. En même temps, évitez des mouvements comme le squat qui met l’accent sur les hanches. Pour les obliques, ne faites que des séries longues et sans charge. Une région du squelette que l’on peut transformer (dans une certaine mesure) est la cage thoracique. De nombreux pratiquants, en particulier les débutants, devraient inclure le pullover dans leur programme afin d’étirer le tissu conjonctif entre les cotes, ce qui aura pour effet (d’ouvrir) la poitrine. Il est difficile de modifier la structure osseuse et les résultats sont rarement spectaculaires mais cela demeure possible. En bodybuilding, on s’y perd dans les conseils. Quelqu’un vous dit quelque chose, quelqu’un d’autre vous suggère le contraire. Les stratégies d’entrainements de plusieurs champions peuvent être diamétralement opposées. La raison, c’est que chaque physique est unique. Les muscles réagissent souvent différemment a tel exercice ou a tel technique d’entrainement et c’est précisément pour cela que la plupart de ces soi-disant ‘commandements’ sont faux. Les 10 préceptes énonces ici s’avèrent peut être vrais pour vous, mais il ne faut pas craindre de les appliquer ou de les rejeter en fonction de votre cas personnel. Suivez de prés ce qui marche bien pour vous. Faites des essais. Explorez. Transcendez. Ayez foi dans le bodybuilding mais méfiez vous des faux prophètes qui prétendent enseigner la méthode « infaillible ». n’oubliez pas que peu de choses en culturisme sont une vérité divine qu’il faut suivre sans réflexion, maintenant et a jamais.

EXERCICE REPAS ET SOMMEIL

EXERCICE REPAS ET SOMMEIL 


Dans « la musculation » un constate par expérimentation que la culture physique de force effectuée avant de se mettre au lit favorise le sommeil en créant un état sédatif. Effectivement, c’est souvent ce que l’on observe. Une séance intense d’entrainement peut vous mettre dans un état de béatitude, qui s’explique par la stimulation du système opioïde (endorphines et encéphalines) au cours des efforts musculaires. Des études ont montre que les opiaces endogènes ont un effet favorable sur la régulation du sommeil.

Cependant, il peut arriver qu’une séance intense de bodybuilding juste avant de se mettre au lit empêche de s’endormir. En effet, l’exercice intense stimule la sécrétion des hormones du stress, dont l’adrénaline, qui agit comme une amphétamine ou de la caféine.

L’exercice intense est un puissant facteur de libération d’adrénaline et de mise en circulation des acides gras. L’exercice intense agit comme les amphétamines et coupe la faim, tandis que l’exercice modéré excite l’appétit et fait grossir. En effet, un des avantages de l’exercice intense est qu’il constitue un stress qui stimule la mise en circulation des réserves d’énergie de l’organisme et diminue l’appétit.

Apres une série particulièrement intense, on a envie de vomir et on reste un long temps sans appétit. L’exercice intense excite autant qu’une tasse de café fort, et souvent on a besoin de moins de sommeil lorsqu’on prépare intensément une compétition de bodybuilding. C’est ce que j’ai observe sur moi lorsque je préparais des concours. Cet état d’excitation permanente brule les graisses a grande vitesse et donne de la force, ce qui aide a conserver sa masse musculaire si on s’entraine lourd en mangeant assez de protéines et tous les autres nutriments essentiels.

il faut toutefois se méfier du surmenage, car en cas de fatigue chronique, le sommeil est généralement perturbe, en ce sens que les phases de sommeil réparateur sont insuffisantes. Un bodybuilder surmène au sommeil moins profond et il a tendance à perdre de la masse. Dans ce cas, un apport de mélatonine peut se révéler très utile, et on peut l’associer à un médicament à base d’amitryptiline (laroxyl), par exemple.

Si on pratique un entrainement intense de bodybuilding, il semble donc que la séance la plus dure doit être faite au moins 5 à 6 heures avant de se mettre au lit pour la nuit. Un des avantages est qu’ainsi on peut se relaxer en faisant une petite sieste avant de manger sérieusement 9 un tout petit repas est souhaitable juste en fin de séance).

Par ailleurs, il est clair que le manque d’exercice pendant la journée est une cause de sommeil difficile pendant la nuit. L’exercice réduit la nervosité et l’anxiété, et induit saine fatigue qui incite le corps à la relaxation. Au niveau physique, la relaxation entre l’exercice et le sommeil est liée a la température corporelle : plus celle-ci est élevée durant la journée, plus in dort bien la nuit.

C’est pourquoi un repas du soir important, pris juste avant de se coucher, peut troubler le sommeil. Car un gros repas augmente le métabolisme, afin de digérer, et cela tend à augmenter la température corporelle, ce qui gène le sommeil. Inversement, les régimes hypocaloriques perturbent le métabolisme de base, ce qui abaisse la température du corps et interfère avec le rythme circadien veille/sommeil. Souvent, on observe qu’un diner ne comportant pas d’hydrates de Carbonne peut être responsable de difficultés à s’endormir. Pour faciliter l’endormissement et favoriser un sommeil réparateur, le dernier repas devrait comporter des nutriments ayant un effet sédatif sur l’organisme. Par exemple, 400 mg calcium, 150 mg de magnésium, 25 mg de vitamine B6 et des aliments protéines apportant du tryptophane, avec un peu d’hydrates de carbone. Des allergies alimentaires peuvent aussi perturber le sommeil.

Il existe d’autre nutriment, difficiles a se procurer, qui peuvent favoriser le sommeil et augmenter la sécrétion d’hormone de croissance. Par exemple, l’acide gamma-aminobuty-rique(GABA), pris environ une heure avant de se coucher, a des doses allant de 500 a 2000mg, peut aider à combattre l’insomnie. Le GABA est un neurotransmetteur inhibiteur ayant un effet calmant chez la plupart des gens. Des préparations à base d’herbes, destinées a faciliter le sommeil, contiennent de la valérienne, qui a des propriétés semblable.

Une autre substance, l’acide gamma-aminobuty-rique (GHB, apparente chimiquement au GABA), c’est généralement un agent inducteur du sommeil. Le GHB augment le sommeil REM (mouvement oculaire rapide), qui est le réparateur, et stimule la sécrétion d’hormone de croissance. Le GHB induit un sommeil tres reposant, et diminue la température corporelle pendant le sommeil, qui est une forme d’hibernation. Le problème est cette substance est devenue illégale, par suite de décision contestables prise par l’administration américaine a son encontre.

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